La société civile du groupement de Mudusa dénonce l’insécurité devenue récurrente dans leur entité et demande l’implication immédiate des autorités chargées de cette question.
Le dernier cas est celui de ce mercredi 25 septembre 2024, dans le sous village de Kabungo, où un homme bien identifié âgé d’une cinquantaine d’années a commis un acte tragique en enfonçant un couteau dans le cou d’une femme, blessant par la même occasion deux autres personnes.
Selon Francois Mubalama, président de la Société Civile du groupement de Bushwira, l’une des victimes a été transportée au centre Hospitalier connu sous le nom de « Chez NTASHARHA » à Mulungulungu avant qu’une ambulance de l’hôpital de Panzi n’arrive sur le lieu pour la transporter à l’Hôpital Général de Référence de Panzi afin qu’elle reçoive les soins appropriés. Il signale que les deux autres victimes suivent les soins dans des structures sanitaires du milieu.
L’agresseur, quant à lui, a été sauvé de justesse grâce à l’intervention rapide des agents de l’ordre et a été référé à l’hôpital général de référence de Nyantende et ensuite transféré à l’hôpital général de référence de Panzi pour les examens et les soins appropriés.
Selon les membres de sa famille, le motif de ces actes serait lié à la présence d’un problème mental.
Signalons que les cas d’insécurité sont de plus en plus rapportés par les membres des mouvements citoyens en groupement de Mudusa en particulier et en territoire de Kabare en général.
Pascal Marhegane