Kabare : soixante quatre ans  après l’indépendance, Kadjucu sombre toujours dans le noir

Kadjucu, à Irambi Katana

Le consortium des orientations de la Société Civile,  le mouvement citoyen et la notabilité de Kadjucu dans le groupement d’Irhambi-Katana, en chefferie de Kabare sollicitent aux autorités compétentes et aux différents partenaires de leurs faciliter à trouver une cabine électrique dans cette partie du territoire du Sud-Kivu.

C’était au cours de la réunion d’évaluation Trimestrielle dans la zone où, plus de 279 cas de vols, 39 personnes torturés par des inconnus, trois personnes étranglés, et plus de 128 mais visités par des personnes non autrement identifiés dans 4 mois confirme plusieurs sources concordantes.

La cause serait l’absence du courant électrique dans la zone depuis plus de 60 ans, soit après l’accession de notre pays à sa souveraineté nationale et internationale une situation que profite les malfrats pendant la nuit.

Les villages victimes sont, celui de Kadjucucu, Buhini, Mukaza, Tchofi, Bwalimu, et Musimbo n’avaient jamais vu l’ampoule éclairée.

6 maisons sont déjà parties en fumée à cause de charge de batterie sur panneaux dans cette partie du groupement d’Irhambi katana révèle la réunion d’évaluation.

Ils sollicitent aux bailleurs et bienfaiteurs de songer à cette grande communauté de différents tributs, clans et ethnies qui vivent dans cette contrée depuis les années sans électricité.

L’un de défenseurs de droits humains de Kadjucu qui a fui l’insécurité causée par l’absence du courant électrique.

Hobereau Kitumaini

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